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« ELLE EST APPARUE L’HUMANITE DE DIEU » UNE EGLISE, DES FRERES, UNE HUMANITE
PRESENTATION 

 

 

Une lettre pastorale de l’évêque est faite pour être lue ! Tous les fi dèles doivent en avoir
connaissance.
Je reconnais qu’une lecture complète, au cours de la messe dominicale, risque d’être
longue et fastidieuse, c’est la raison pour laquelle je préconise de lire quelques extraits
choisis et de remettre, à la fi n de la messe, la lettre dans sa totalité aux fi dèles, en veillant
à une diff usion la plus large possible.
Cette lettre a pour objet d’établir un trait d’union entre la richesse de mes visites pastorales,
les conclusions que j’en ai tirées et notre rassemblement diocésain du 14 octobre
2012, sans perdre le fi l rouge des 5 orientations missionnaires promulguées à Pentecôte
2008 : « Une Eglise, des Actes ».
L’échéancier qui accompagne la lettre pastorale défi nit les étapes préparatoires qui
aboutiront à notre grande rencontre diocésaine d’octobre.
Nous sommes jusqu’à la fi n des temps, une Eglise qui chemine avec toute la famille
humaine. Notre Dieu est le Dieu des rencontres. La plus belle d’entre elles est celle qu’il
a réalisée avec l’humanité par l’Incarnation de Son Fils. C’est ce mystère permanent que
l’Eglise vit dans sa mission de communion avec tous les hommes. Je l’ai vécu concrètement
dans mes visites pastorales et je me suis eff orcé de le traduire dans les comptesrendus
de celles-ci et dans cette lettre pastorale.
Je vous invite donc, non seulement à la lire, mais à la partager en petits groupes, également
dans les conseils paroissiaux, à recueillir vos réactions, à trouver des idées pour
« faire avancer l’Eglise dans le sens d’une vie fraternelle avec tous, pour que tous découvrent
en Jésus, le frère universel, le compagnon de nos vies, le Fils éternel du Père ».
Je ne peux pas terminer cette présentation sans remercier le comité de rédaction 1 qui,
à la suite du Conseil Presbytéral, a assuré la relecture de ma lettre pastorale en allégeant
sa forme rédactionnelle pour faciliter sa lecture.
Bonne lecture et bonne réfl exion.
+Norbert TURINI
Evêque de Cahors
1-Comité de rédaction : Mmes Marie-Madeleine Rey et Lucette Verdier, M. Pierre
Mas, les Pères René Bergougnoux et David Réveillac.
Lettre pastorale 1
« ELLE EST APPARUE L’HUMANITE DE DIEU »
UNE EGLISE, DES FRERES, UNE HUMANITE
LETTRE PASTORALE DE L’EVEQUE DE CAHORS
AU PEUPLE DE DIEU QUI EST DANS LE LOT
« MON AME EXALTE LE SEIGNEUR » (Luc 1, 46)
 

 

 

 

 

A l’issue de Pentecôte 2008, j’ai commencé une tournée de 30 visites pastorales qui se sont
achevées en juin 2011. Elles m’ont permis de rencontrer toutes les communautés chrétiennes
de notre diocèse et plus largement de partager de grands moments de vie avec la famille
humaine du Lot.
Cette belle humanité, découverte au gré de mes visites pastorales et riche de sa diversité, je l’ai
reçue comme un don de Dieu : Humanité aux multiples visages dans le monde de la santé (malades
et soignants), de l’entreprise, de l’agriculture, chez les élus et les bénévoles engagés dans les
diverses formes de la vie associative, culturelle, sociale, etc…
Je l’ai contemplée dans le regard de toutes celles et ceux qui sont venus me confi er leurs questions,
leurs souff rances, leurs joies, leurs angoisses, leurs espoirs, leurs attentes, leurs révoltes, leurs
besoins,…
C’est au coeur de toutes ces vies de femmes et d’hommes que Jésus continue aujourd’hui à
prendre corps et que j’éprouve Sa présence. C’est au coeur de cette humanité, que Son Eglise
continue à prendre corps, elle aussi, pour faire apparaître l’humanité de Dieu.
 

I°) LE FRUIT DE MES VISITES : « ELLE EST APPARUE, L’HUMANITE DE
DIEU ».
Tout au long de ces 160 journées de « visitation », je me suis laissé accueillir par tous ces hommes
et femmes, chez eux, sur leurs lieux de travail, de vie sociale et culturelle. Voici les conclusions que
ces rencontres m’ont inspirées pour la vie et la mission de notre Eglise diocésaine :
1° : Elle passe de plus en plus par la foi et l’engagement des laïcs.
2° : Nos communautés chrétiennes, sous l’action de l’Esprit Saint sont appelées à développer
leur vocation prophétique.
3°: Grâce au don de l’Esprit, les ministres ordonnés se doivent de guider, d’éclairer, de sanctifi er
et d’enseigner le Peuple de Dieu aujourd’hui, tout en étant visionnaires pour l’avenir afi n de
préparer les chemins du Seigneur pour ces temps nouveaux de l’Evangile.
4° : L’amour est au commencement de tous nos engagements, de toutes nos actions, de toutes
nos paroles. Jésus n’est pas venu pour condamner le monde mais pour le sauver : c’est, avec le
pardon, le sommet de l’amour.
5° : Pour nous chrétiens, l’accueil de la Parole de Dieu, l’expression liturgique et la prière ne
peuvent être déconnectées de la vie : « Seule une relation profonde avec Dieu, nous dit Benoît XVI,
rend possible une pleine attention à l’homme, de même que sans l’attention au prochain la relation à
Dieu s’appauvrit1».
L’existence de l’homme et le fruit de son travail sont présents dans la liturgie eucharistique,
comme la présence de Dieu accompagne la vie de l’homme dans toutes les dimensions de son
quotidien. Les sacrements nous initient à la vie avec Dieu et avec les hommes.
1 Lors de son voyage en Allemagne du 22 au 25 septembre 2011
Lettre pastorale 2
6° : Nos communautés paroissiales ont parfois du mal à s’ouvrir à l’accueil des blessés de la vie,
des personnes en grande précarité, de la grande solitude qui affl ige chez nous tant de nos aînés et
même des plus jeunes. Ils sont pourtant ces « pauvres » que Jésus aime par dessus tout.
7° : Off rir l’Evangile à l’homme d’aujourd’hui et l’ouvrir à cette Parole de Vie est le plus beau
service, la plus belle preuve d’amour que l’Eglise puisse lui rendre pour sa croissance, sa transformation,
son progrès, son bonheur, en un mot pour sa vie.
8° : Les enfants et les jeunes sont membres à part entière du Peuple de Dieu, aujourd’hui :
• pour eux, notre attention,
• en eux, notre espérance !
9° : Etre disciples de Jésus aujourd’hui, c’est « s’intéresser à l’homme et à tout l’homme » comme le
rappelait le Pape Paul VI1.
Ainsi, notre Eglise Diocésaine s’inscrit dans la lignée du Concile Vatican II qui présente l’Eglise
non pas comme une totalité emmurée, mais comme un lieu de relations : « La communauté des
chrétiens, se reconnaît réellement et intimement solidaire du genre humain et de son histoire… De
même qu’il importe au monde de reconnaître l’Eglise comme une réalité sociale de l’histoire et comme
son ferment, de même l’Eglise n’ignore pas tout ce qu’elle a reçu de l’histoire et de l’évolution du genre
humain… Par son attachement et sa fi délité à l’Evangile, par l’accomplissement de sa mission dans
le monde, l’Eglise, à qui il appartient de favoriser et d’élever tout ce qui se trouve, de vrai, de bon, de
beau dans la communauté humaine, renforce la paix entre les hommes pour la gloire de Dieu.2» Belle
mission pour nous :
aider l’homme d’aujourd’hui à trouver le sens et le chemin de son existence : l’humanité de
Dieu.
II°) UNE EGLISE, DES FRERES, UNE HUMANITE.
« L’Eglise doit entrer en dialogue avec le monde dans lequel elle vit. L’Eglise se fait parole ; l’Eglise se
fait message ; l’Eglise se fait conversation2» N’est-ce pas ce que nous avons vécu durant mes visites
pastorales ? Ce travail de présence et de proximité aux femmes et aux hommes de ce temps n’est
pas seulement réservé à l’évêque lors des visites pastorales, mais c’est le travail de toute l’Eglise et
de tous ses membres au quotidien.
C’est « La double responsabilité du chrétien,
• citoyen d’un Etat terrestre et en même temps
• membre du Corps mystique du Christ » (Gaudium et Spes, III 33-39).
Je l’ai souvent répété, l’Evangile, Bonne Nouvelle de Jésus-Christ, fait avancer l’Eglise dans le
sens d’une vie fraternelle avec tous pour découvrir en Jésus, le frère universel.
L’Eglise, dans son mystère, se découvre en triple relation :
• avec Dieu,
• avec les générations de croyants,
• avec les autres hommes, non chrétiens ou incroyants.
C’est au coeur de toutes ces rencontres dans un monde incertain et souvent inquiet et désenchanté
que nous avons à vivre en chrétiens et à proposer la foi chrétienne en Dieu comme une
source d’espérance contre toute espérance, une source de vie éternelle. Cette Espérance réside
aussi dans notre capacité à nous recevoir, croyants ou pas, en frères et soeurs universels. « Nous
entrons dans un millénaire qui s’annonce comme caractérisé par un profond mélange de cultures et de
religions, même dans les pays de christianisation ancienne. Dans beaucoup de régions, les chrétiens
sont en train de devenir un « petit troupeau » (Lc 12/32). Cela les met face au défi de témoigner plus
fortement des aspects spécifi ques de leur identité et bien souvent dans des conditions de solitude et de
1 Paul VI «Ecclesiam Suam» 67
2 Gaudium et Spes 44§1 et 76§6
Lettre pastorale 3
diffi cultés3». Cela passe par les petits pas et les petits gestes de l’amour.
Ils manifestent dans le concret de la vie que l’autre n’est pas un étranger pour moi, mais mon
prochain et mon frère.
Je crois profondément que ces chemins de rencontre sont providentiels pour la vie et la mission
de nos communautés chrétiennes, qu’ils peuvent les aider à se renouveler, à se fortifi er, à se ressourcer,
à grandir.
Si nous avons vécu un chemin synodal et des visites pastorales, n’est-ce pas pour retrouver au
coeur de nos vies et de nos communautés chrétiennes, le souffl e et le feu de Pentecôte qui
nous pousse, qui brûle nos coeurs et nous envoie sur de nouveaux chemins de rencontre ? Il y
a vraiment là de quoi nourrir notre prière, notre mission et nous ouvrir à l’action de grâce.
III°) : LE RASSEMBLEMENT DIOCESAIN DU 14 OCTOBRE 2012.
Je souhaite ardemment revoir vos visages, et avec vous, tous ceux des femmes et des hommes que
j’ai découverts, grâce à vous, à l’occasion de mes visites pastorales et dont beaucoup sont loin de
l’Eglise. C’est pourquoi, je vous invite à une
Fête de la Rencontre de tous et pour tous.
J’ai conscience que cela puisse dérouter. Il est plus facile de se retrouver entre chrétiens, entre
nous et pour nous. Cependant tous et chacun, nous sommes les acteurs de cette société qui a souvent
du mal à identifi er en nous la foi au Christ qui nous fait vivre. C’est pour cela que je propose
que l’on se retrouve entre chrétiens mais avec d’autres qui ne le sont pas forcément.
Concrètement, je vous demande de remobiliser toutes celles et ceux que vous avez invités à me
rencontrer au cours de mes 30 visites. Vous leur remettrez de ma part l’invitation spéciale que
j’aurai rédigée pour eux en temps voulu : « Même si, parfois, beaucoup de choses nous séparent, vous
m’avez reçu et accueilli chez vous. A mon tour, je vous invite parce que je désire vous revoir, poursuivre
le dialogue et vous dire encore merci ». Plus que ma personne, c’est nous tous, membres de notre
Eglise diocésaine qui les invitons à cette fête de la Rencontre.
Quelques repères pour cette journée du 14 octobre :
1 - « L’avenir est entre les mains de ceux qui auront su donner aux générations de demain des raisons
de vivre et d’espérer4». Une telle rencontre ne peut donc pas s’organiser, se préparer, ni se vivre
en l’absence des adolescents et des jeunes qui en sont les signes vivants. Il est important qu’ils
marquent cette journée de leur présence et de leur empreinte, grâce à leurs savoir-faire, leurs
talents, leur créativité. Ils n’en manquent pas au sein de nos aumôneries, services et mouvements
de jeunes diocésains. (5° priorité missionnaire : Une Eglise, des Actes). Ils participeront donc
activement à l’animation de la journée.
2 - La démarche Diaconia 2013 voulue par les évêques de France (50 mouvements et services
d’Eglise y sont engagés) sera intégrée dans notre journée. Elle a pour but de rappeler que l’exercice
de la charité fait partie de la nature même de l’Eglise, qu’elle concerne tous les baptisés et
pas seulement les services et mouvements spécialisés.
3 - Grâce à des intervenants, nous ressaisirons ensemble ce que la Bonne Nouvelle de Jésus-
Christ révèle de l’homme et révèle à l’homme.
4 - Une grande liturgie eucharistique nous plongera dans l’action de grâce pour toutes ces
rencontres et nous permettra de chanter ensemble, comme Marie au jour de la Visitation, les
merveilles de Dieu.
5 - C’est dans la prière que l’Esprit Saint prépare ce que nous avons à vivre. Sans elle, notre
3 Jean-Paul II «Novo milenio ineunte» n° 36 ( Janvier 2001)
4 Gaudium et Spes 31§3
Lettre pastorale 4
entreprise sera vaine.
Je nous invite à prier dans ce sens, en sachant que le jour du Rassemblement une permanence de
la prière sera organisée sur place pour que souffl e plus fort encore sur tous les présents, l’Esprit
de Pentecôte.
Au-delà du dimanche 14 octobre 2012, car la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ continue sa
course, je souhaite que ce rassemblement soit comme un envoi en mission pour vivre d’autres
moments de rassemblements à l’échelle de nos villes, de nos bourgs, de nos villages, de nos groupements
paroissiaux, où la joie de « vivre ensemble et d’être unis », soit le signe d’une belle et
vivante Espérance. Des rassemblements importants en appellent de plus modestes, vécus dans
le quotidien de nos vies, de nos journées, de nos rencontres : des rassemblements ou plutôt des
rapprochements à inventer là où Dieu nous a placés.
CONCLUSION : UNE EGLISE QUI RESTE OUVERTE :
Le Christ rassemble et envoie son Eglise dans un mouvement indissociable. L’envoi évite le
repliement, et manifeste que nos communautés sont toujours ouvertes et en quête de ceux dont
l’Eglise est encore loin.
Si l’Eglise a du mal à se projeter dans l’avenir, c’est souvent parce qu’elle passe trop de temps à
chercher des solutions en interne et à faire des fi xations sur des problèmes d’autorité ou des querelles
de pouvoir qui parfois l’asphyxient. C’est en écoutant tout à la fois, la Parole de Dieu et le
coeur de l’homme contemporain, en marchant avec lui, que l’Esprit Saint nous fait entendre
Sa voix.
Oui, Jésus n’a jamais renoncé à rester aux côtés de l’homme, même quand ses disciples le quittent.
Il a choisi de partager la condition humaine en s’identifi ant à toutes celles et ceux qui
sont au bord du chemin.
Nous partons à la rencontre du frère pour partager avec lui notre Espérance et la Parole qui
nous habite, à condition de les vivre nous-mêmes. Les uns et les autres, nous formons une seule
humanité, rappelons-le. A la clôture du Concile Vatican II, le Pape Paul VI disait : « Pour l’Eglise
catholique, personne n’est étranger, personne n’est exclu, personne n’est lointain ». C’est bien le sens de
ce qui nous qualifi e : CATHOLIQUES.
Le Bienheureux Jean-Paul II écrivait : «L’homme est la première route que l’Eglise doit parcourir
en accomplissant sa mission : il est la première route et la route fondamentale de l’Eglise, route tracée
par le Christ lui-même, route qui, de façon immuable, passe par le mystère de l’Incarnation et de la
Rédemption.1» Si notre Eglise quitte cette route, elle s’éloigne du Christ, elle n’est plus tout à fait
Son Eglise car c’est en Lui qu’est apparue l’humanité de Dieu.
Après l’avoir créée, le Père a voulu la visiter en nous envoyant Son propre Fils, prendre notre
propre chair. Croyants ou pas, nous sommes solidaires de cette humanité. Elle est notre socle
commun, notre humus et tous ensemble, nous sommes appelés à donner infi niment d’amour.
Il est nécessaire que nos portes ne se referment pas, afi n que cette ouverture engagée, demeure
dans nos communautés chrétiennes, bien au-delà de mes visites. Si nos familles paroissiales l’ont
réussie, elles « transformeront l’essai », et continueront à chanter « Magnifi cat » !
C’est mon désir et ma prière.
+Norbert TURINI
Evêque de Cahors
Dimanche 8 janvier 2012
Solennité l’Epiphanie du Seigneur
1 Jean-Paul II «Redemptor hominis» n°14
ECHEANCIER
Nous articulerons notre rassemblement diocésain du 14 octobre 2012 avec Diaconia 2013 à
l’aide de cet échéancier.
NOEL (24-25 décembre 2011) :
• La nuit et le jour de Noël : à la sortie de l’église, a été remise à tous les fi dèles présents une page
du livre blanc de la solidarité (Diaconia 2013), que chacune et chacun est invité à remplir. On
peut s’en procurer plusieurs pour les porter à d’autres personnes.
• Cette page se trouve également sur le site Internet du diocèse.
JANVIER 2012
• Début janvier, je demande que ma lettre pastorale soit lue en paroisse pour sensibiliser les fi -
dèles, les conseils ainsi que tous les services paroissiaux et mouvements présents sur la paroisse.
Cette lecture a pour but de préparer nos communautés paroissiales à comprendre et à entrer
dans l’esprit de notre rassemblement d’octobre 2012.
• Les pages vierges du livre blanc seront remises aux adolescents et aux jeunes des aumôneries,
services et mouvements afi n qu’ils entrent dans la préparation active du Rassemblement d’octobre
2012 et apportent leur contribution à Diaconia 2013.
• Fin janvier également, tous les groupements paroissiaux recevront les chants liturgiques avec
les partitions correspondantes pour l’eucharistie du 14 octobre 2012.
• Les catéchistes recevront par le Service de la Catéchèse, les chants que les enfants apprendront
pour le concert du rassemblement diocésain d’Octobre 2012.
FEVRIER 2012 :
• Après le temps de collecte des feuillets du Livre blanc et de lecture, il est demandé à ce que chaque
paroisse désigne un délégué qui viendra présenter le livret blanc à l’occasion d’une journée de
recollection le Samedi 10 MARS 2012. A partir de là, chaque groupement paroissial cherchera
ce qu’il fera ressortir dans un stand lors du rassemblement.
PENTECOTE 2012 (dimanche 27 mai 2012) :
• A partir de la Pentecôte, mobilisation des groupements paroissiaux pour lancer les invitations
au Rassemblement d’Octobre 2012 (voir lettre pastorale). Ces invitations vous parviendront début
mai.
• Vers le 20-25 juin : première évaluation sur les réactions suscitées par les invitations et estimation
dans chaque groupement paroissial des réponses enregistrées.
SEPTEMBRE 2012 :
• Début septembre, piqure de rappel avec relance des invitations.
• Préparation active du rassemblement
Imprimerie PUBLIFUSION 46000 Cahors

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